1970 : Micheline Beaurain, Paris
Etre Miss est une formidable aventure, mais il faut voir ça comme un passage et pas comme une fin en soi. Quand j'ai été élue, j'avais 20 ans et j'avais déjà décroché le titre de Miss Paris. A l'époque, je travaillais comme hôtesse et je faisais des tournées de gala pour les élections régionales le week-end. C'était un peu la course ! J'ai eu beaucoup de contacts avec les gens de la mode mais ce milieu ne m'attirait pas. J'aimais mon métier et, quand j'ai rencontré mon mari qui travaillait dans la restauration, j'ai naturellement continué avec lui. Nous avons tenu un restaurant à Paris, puis un hôtel à Saint-Cloud -grâce à Madame de Fontenay - jusqu'à l'an dernier. Actullement, nous étudions d'autres projets. J'ai toujours aimé l'action ! Ma vraie passion, ce ne sont pas les podiums, mais mes trois enfants de 23, 21 et 18 ans et notre vie de famille réussie
toutes les miss
Description :
Vous vous interrogiez sur les précédantes miss France ? Ce blog est fait pour vous !
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lesmissfrance1431 ans
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France
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1971 : Myriam Stocco, Languedoc-Roussillon (4e à Miss Europe 1971, 6e à Miss Univers 1971, 7e à Miss Monde 1971)
Les gens de la région sont fiers de moi, mon titre représente beaucoup pour eux, même encore maintenant. J'ai rencontré des gens que je n'aurais jamais connu autrement. Peut-être à cause de mon éducation italienne très stricte, n'ai-je pas su assez profiter des opportunités. En fait, un titre n'apporte un plus que si l'on veut se lancer dans une carrière showbiz ou cinéma, affirme Myriam qui n'a pourtant pas manqué d'occasions après son élection. Mannequin chez Balmain, modèle du photographe Gunnar LARSON, elle fut remarquée par la célèbre agence de mannequin Eilenn FORD qui la fit venir à New York. La voie royale pour une carrièer de top-modèle internationale ! Six mois après, j'avais tellement le mal du pays que je suis rentré ici, dans cette région que j'adore, sans aucun regret.
A 18 ans, cette petite-fille d'immigrés italiens fit sensation. Grande (1,77 m), arborant une opulente chevelure blonde, elle avait les atouts d'une future star.
Léon Zitrone, lors d'une interview, confia qu'elle lui rappelait Sophia Loren. En 2002, invitée à l'émission Vie privée, elle raconta comment elle participa au concours Miss Univers à Miami. Des cinéastes voulaient la faire tourner. Un milliardaire américain fit le voyage à Beaucaire pour lui demander sa main. Elle refusa, épousa son fiancé, et mène depuis sa vie de mère de famille et d'élue au conseil municipal.
Devenir miss était plutôt le rêve de sa mère que le sien et elle témoigna avoir dû « forcer sa nature pendant cette année de miss ». Mais, restée très proche de Geneviève de Fontenay, la présidente du comité national miss France, Myriam Stocco s'est investie dans l'organisation des sélections régionales. Depuis 34 ans, elle espérait qu'une jeune fille de la région prenne le relais. C'est chose faite.
Les gens de la région sont fiers de moi, mon titre représente beaucoup pour eux, même encore maintenant. J'ai rencontré des gens que je n'aurais jamais connu autrement. Peut-être à cause de mon éducation italienne très stricte, n'ai-je pas su assez profiter des opportunités. En fait, un titre n'apporte un plus que si l'on veut se lancer dans une carrière showbiz ou cinéma, affirme Myriam qui n'a pourtant pas manqué d'occasions après son élection. Mannequin chez Balmain, modèle du photographe Gunnar LARSON, elle fut remarquée par la célèbre agence de mannequin Eilenn FORD qui la fit venir à New York. La voie royale pour une carrièer de top-modèle internationale ! Six mois après, j'avais tellement le mal du pays que je suis rentré ici, dans cette région que j'adore, sans aucun regret.
A 18 ans, cette petite-fille d'immigrés italiens fit sensation. Grande (1,77 m), arborant une opulente chevelure blonde, elle avait les atouts d'une future star.
Léon Zitrone, lors d'une interview, confia qu'elle lui rappelait Sophia Loren. En 2002, invitée à l'émission Vie privée, elle raconta comment elle participa au concours Miss Univers à Miami. Des cinéastes voulaient la faire tourner. Un milliardaire américain fit le voyage à Beaucaire pour lui demander sa main. Elle refusa, épousa son fiancé, et mène depuis sa vie de mère de famille et d'élue au conseil municipal.
Devenir miss était plutôt le rêve de sa mère que le sien et elle témoigna avoir dû « forcer sa nature pendant cette année de miss ». Mais, restée très proche de Geneviève de Fontenay, la présidente du comité national miss France, Myriam Stocco s'est investie dans l'organisation des sélections régionales. Depuis 34 ans, elle espérait qu'une jeune fille de la région prenne le relais. C'est chose faite.
1972 : Chantal Bouvier de Lamotte, Paris
Papa était industriel, maman psychothérapeute spécialisée dans l'analyse des rêves, et à treize ans leur fille Chantal refusait de suivre d'autres études qu'un cours de mannequin. Les photos de défilés, j'en ai fait dès mon adolescence. C'est d'ailleurs ainsi que j'ai rencontré une amie de Madame de FONTENAY, la présidente du Comité Miss France, qui m'a incitée à me présenter aux élections. J'ai été Miss Paris à quinze ans et je n'ai pas fait les concours internationaux parce que je n'avais pas encore les dix-sept ans révolus obligatoires ! A cette époque, j'hésitais à devenir professeur d'équitation. J'adorais les chevaux, je faisais des concours de dressage, tout mon argent et mon temps y passaient. J'ai réalisé que ce n'était pas lucratif du tout, et qu'il fallait choisir : mannequin ou cheval ? Chantal BOUVIER de LAMOTTE opte pour les salons et les défilés, mais fourmi prévoyante, passe son diplôme d'esthéticienne. Elle achète une parfumerie en banlieue parisenne. Et la revend deux ans plus tard lorsqu'elle s'aperçoit que l'élevage des yorkshires est une activité financièrement plus intéressante. Ca me plaisait car j'aime les animaux. J'avais environ soixante-dix chiens, installés dans l'Essonne. A trente-sept ans, Chantal épouse un industriel dans les Yvelines et cesse de travailler, cette jeune marquise d'une des plus anciennes familles de la noblesse française vient d'être maman d'une charmante petite fille prénommée Angélique.
Papa était industriel, maman psychothérapeute spécialisée dans l'analyse des rêves, et à treize ans leur fille Chantal refusait de suivre d'autres études qu'un cours de mannequin. Les photos de défilés, j'en ai fait dès mon adolescence. C'est d'ailleurs ainsi que j'ai rencontré une amie de Madame de FONTENAY, la présidente du Comité Miss France, qui m'a incitée à me présenter aux élections. J'ai été Miss Paris à quinze ans et je n'ai pas fait les concours internationaux parce que je n'avais pas encore les dix-sept ans révolus obligatoires ! A cette époque, j'hésitais à devenir professeur d'équitation. J'adorais les chevaux, je faisais des concours de dressage, tout mon argent et mon temps y passaient. J'ai réalisé que ce n'était pas lucratif du tout, et qu'il fallait choisir : mannequin ou cheval ? Chantal BOUVIER de LAMOTTE opte pour les salons et les défilés, mais fourmi prévoyante, passe son diplôme d'esthéticienne. Elle achète une parfumerie en banlieue parisenne. Et la revend deux ans plus tard lorsqu'elle s'aperçoit que l'élevage des yorkshires est une activité financièrement plus intéressante. Ca me plaisait car j'aime les animaux. J'avais environ soixante-dix chiens, installés dans l'Essonne. A trente-sept ans, Chantal épouse un industriel dans les Yvelines et cesse de travailler, cette jeune marquise d'une des plus anciennes familles de la noblesse française vient d'être maman d'une charmante petite fille prénommée Angélique.
Cet oiseau des îles est depuis jeudi soir, Miss France 1974. C'est la ravissante Miss Tahiti 73. Ses dauphines sont Miss Val-de-Marne (Josiane Bouffeni), et Miss Lot-et-Garonne (Martine Calzavera). Elles ont toutes trois 18 ans et notre nouvelle reine de beauté a des mensurations langoureuses : 86 cm de tour de poitrine, 65 cm de tour de taille et 87 cm de hanches pour 1m69. Secrétaire à Papeete, Edna a eu ce cri du coeur, en apprenant sa victoire : Quel honneur pour Tahiti ! C'est, en effet, la première fois que le jury choisi une Miss d'outre-mer pour représenter le charme français aux compétitions mondiales.
1975 Sophie Perin Lorraine Paris, Île-de-France
A 18 ans, j'avais envie d'évasion. Mes parents me laissaient très peu sortir et de toute façon, le milieu minier de ma ville de province ne favorisait pas le dépaysement et les rencontres. Ma mère rêvait pour moi d'un beau mariage. Mais je ne le voyais pas du tout sous cet angle. C'est mon grand-père qui a insisté pour que je me présente dans ma petite ville natale. De là, j'ai été élue Miss Lorraine, puis Miss France. Ensuite, j'ai dû assumer les responsabilités qui incombent à n'importe qu'elle Miss France. Très vite, je suis partie pour les Etats-Unis, le Japon, et d'autres pays lointains qui me faisaient rêver lorsque j'étais enfant. Etre Miss m'a permis de m'éloigner d'une vie trop rigide à mon goût, sans pour autant peiner mes parents.J'ai entrepris des études d'architecture que j'ai interrompues lorsque j'ai remporté le titre de Miss Internationale en 1976. Le rythme s'accélérait. Je défilais pour des couturiers de plus en plus célèbres. J'ai eu la chance de représenter les fourrures CHRISTIAN DIOR pendant plusieurs années. Puis j'ai été mannequin-cabine chez NINA RICCI. Il y a deux ans, j'ai changé de rythme pour me consacrer à mes deux enfants de 7 et 5 ans. J'avais beaucoup travaillé quand ils étaient petits. Ma fille assistait aux défilés et aux essayages chez DIOR quand elle était bébé. J'avais besoin de souffler. Mes enfants savent que j'ai été Miss France. Ca ne les fascine pas plus que ça, pour eux c'est naturel. Je dis rarement que j'ai eu ce titre. Certains le découvrent quand ils sont invités chez moi : ils aperçoivent ma couronne posée dans un coin...
A 18 ans, j'avais envie d'évasion. Mes parents me laissaient très peu sortir et de toute façon, le milieu minier de ma ville de province ne favorisait pas le dépaysement et les rencontres. Ma mère rêvait pour moi d'un beau mariage. Mais je ne le voyais pas du tout sous cet angle. C'est mon grand-père qui a insisté pour que je me présente dans ma petite ville natale. De là, j'ai été élue Miss Lorraine, puis Miss France. Ensuite, j'ai dû assumer les responsabilités qui incombent à n'importe qu'elle Miss France. Très vite, je suis partie pour les Etats-Unis, le Japon, et d'autres pays lointains qui me faisaient rêver lorsque j'étais enfant. Etre Miss m'a permis de m'éloigner d'une vie trop rigide à mon goût, sans pour autant peiner mes parents.J'ai entrepris des études d'architecture que j'ai interrompues lorsque j'ai remporté le titre de Miss Internationale en 1976. Le rythme s'accélérait. Je défilais pour des couturiers de plus en plus célèbres. J'ai eu la chance de représenter les fourrures CHRISTIAN DIOR pendant plusieurs années. Puis j'ai été mannequin-cabine chez NINA RICCI. Il y a deux ans, j'ai changé de rythme pour me consacrer à mes deux enfants de 7 et 5 ans. J'avais beaucoup travaillé quand ils étaient petits. Ma fille assistait aux défilés et aux essayages chez DIOR quand elle était bébé. J'avais besoin de souffler. Mes enfants savent que j'ai été Miss France. Ca ne les fascine pas plus que ça, pour eux c'est naturel. Je dis rarement que j'ai eu ce titre. Certains le découvrent quand ils sont invités chez moi : ils aperçoivent ma couronne posée dans un coin...
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